Prendre soin par l’art
Le monde a besoin de la beauté d’une œuvre pour s’ouvrir à l’espérance, et reprendre confiance.
Notre engagement est de ré-enchanter le monde. L’art est un formidable accompagnateur, car l’espérance que porte l’art, la beauté aide à vivre.
Il s’agit de prendre soin par l’art des personnes fragilisées par l’âge, la maladie, l’exclusion, le deuil…
Voici les 4 AXES forts de notre mission:
- L’exposition d’œuvres d’art avec présentation par l’artiste
- L’animation d’ateliers artistiques joyeux et colorés
- La décoration murale par des œuvres picturales des établissements de soin
- Les visites bénévoles et le don individuel de reproductions artistiques, cartes.
S’il est difficile d’aller au musée lorsqu’on est en Ehpad, en prison, à l’hôpital… l’art viendra dans ces lieux! Car l’art aide à mieux vivre, il soigne les maux. « L’inauguration de ces tableaux s’inscrit dans la logique de l’art-thérapie. C’est à dire soigner par la peinture, la musique, ou encore la danse. Cette méthode permet de pallier certains effets indésirables des médicaments, atteste Sana Benahji, médecin coordinateur de l’Ehpad Thiers (Antibes), elle aide les personnes âgées à retrouver de l’estime de soi. A la manière d’une madeleine de Proust, ces peintures permettront aux personnes en perte d’autonomie psychique de raviver certains souvenirs ou d’exprimer leurs émotions. » (Extrait article presse Nice-matin – La peinture pour aider à soigner les maux).
L’art « comme thérapie » devient très d’actualité. Les actions se développent pour agir avec l’art et soigner, apaiser les souffrances. Voici un témoignage du 18 février 2022 par cet article des Echos, intitulé « L’art: Thérapie Post-Covid? » (par Paul Molga): « Visiter un musée, contempler des oeuvres ou écouter de la musique peut aider à la reconstruction de notre santé mentale après la crise sanitaire. L’art peut aussi apaiser les souffrances et même améliorer les performances des malades atteints de démences séniles. Les neurologues commencent à comprendre les mécanismes impliqués… L‘hôpital Brugmann de Bruxelles, le plus grand établissement hospitalier de la ville, teste à son tour ces prescriptions culturelles. Encadrés par des membres du personnel de santé, les patients de la clinique du stress abritée par l’hôpital arpentent par petits groupes les allées du musée de la ville – et bientôt d’autres sites patrimoniaux – pour trouver dans l’art des moyens d’apaiser leur souffrance… »